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« La téléphonie et le numérique ne sont pas un luxe »

De nos jours et plus encore en cette période de crise sanitaire liée au coronavirus Covid-19, l'accès à la téléphonie mobile et à internet sont devenus obligatoires pour développer une activité sociale et économique sur nos territoires ruraux. Or, dans notre département, persiste la présence de « zones blanches » dans lesquelles la couverture en réseau mobile est absente ou insuffisante.

Julien Denormandie, secrétaire d’Etat à la Cohésion des teritoires, et Xavier Batut, député de Seine-Maritime.

Julien Denormandie, secrétaire d’Etat à la Cohésion des teritoires, et Xavier Batut, député de Seine-Maritime.

De nos jours et plus encore en cette période de crise sanitaire liée au coronavirus Covid-19, l’accès à la téléphonie mobile et à internet sont devenus obligatoires pour développer une activité sociale et économique sur nos territoires ruraux. Or, dans notre département, persiste la présence de « zones blanches » dans lesquelles la couverture en réseau mobile est absente ou insuffisante.

Les zones blanches ce sont des territoires qui n’ont pas accès à internet ou à un réseau mobile de qualité. Dès son élection, Xavier Batut, député de la 10e circonscription de Seine-Maritime a pris ce dossier à-bras-le-corps :

La téléphonie et le numérique, ne sont pas luxe mais un bien essentiel.

Sur l’ensemble de sa circonscription rurale, Xavier Batut se démène avec les maires pleins de bonne volonté qui ont compris les enjeux pour faire installer des antennes-relais, en partenariat avec les opérateurs de téléphonie mobile.

D’ailleurs, il n’a pas manqué de saluer l’accord signé, dès janvier 2018, entre l’Etat et les quatre opérateurs qui a pour objectif de généraliser une couverture de qualité pour l’ensemble du territoire national.

L’accord prévoit :

  • La fin des zones blanches : en 3 ans, autant de zones seront traitées que l’ensemble des programmes gouvernementaux depuis 15 ans car chaque opérateur fournira 5 000 installations supplémentaires.

  • La généralisation de la 4G : tous les sites mobiles seront équipés en 4G. Cela implique de l’apporter à plus d’un million de Français sur 10 000 communes.

  • L’accélération de la couverture mobile des axes de transport, notamment sur les lignes TER.

  • L’amélioration de la qualité de service : pour être considérée comme couverte, une zone devra bénéficier d’un service de bonne qualité.

  • La généralisation de la couverture téléphonique à l’intérieur des bâtiments, notamment en utilisant la voix sur Wifi.

  • Les opérateurs s’engagent à investir plus de 3 milliards d’euros supplémentaires.

Julien Denormandie, secrétaire d’Etat à la cohésion des territoire, a indiqué :

« L’État et les collectivités locales ne débourseront rien.

En contrepartie, l’Etat a accepté le principe de renouveler les fréquences dont les opérateurs ont besoin pour exploiter leur réseau.

Cet accord a été conclu sous le sceau de l’Arcep, l’autorité indépendante qui régule le secteur, et qui sera garant de l’accord.

Xavier Batut salue l’action :

Avec cet accord, les opérateurs s’engagent à investir beaucoup plus et beaucoup plus vite dans les infrastructures.

Au moment où les Français sont confinés chez eux dans le cadre de la lutte du coronavirus Covid-19, nous avons la démonstration que l’accès à la téléphonie et à une excellente couverte 4G est plus que nécessaire : télétravail, télémédecine, école à distance, commandes à distance… Le député Xavier Batut assure qu’il va poursuivre son travail en ce sens.

Ces déploiements se font en toute transparence via le site monreseaumobile.fr